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Les mots des serpents

Virginie Komaniecki & Thierry Renard
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Leemet est le dernier des hommes à parler la langue des serpents. Depuis les entrailles de la forêt, il laisse affleurer le souvenir d’un temps où hommes et bêtes peuplaient le bois en bonne entente…

Tiré du roman L’homme qui savait la langue des serpents d’Andrüs Kivirhäk, cette création à deux voix (conte et violoncelle), retrace la vie d’un jeune homme qui voit le monde de ses ancêtres disparaître, la modernité l’emporter et le monde sauvage se détacher de nos humanités…

Écriture et récit Virginie Komaniecki
Composition musicale, violoncelle Thierry Renard
Mise en scène Alberto Garcia Sanchez
Adapté librement de L’homme qui savait la langue des serpents d’Andrüs Kivirhäk aux Éditions du Tripode 2013

Contactbilletterie@artsdurecit.com / 04 76 51 21 82

En co-accueil avec la Maison de la musique de Meylan

Virginie Komaniecki
Après une formation théâtre, Commedia dell’arte, danse et jazz vocal, Virginie Komaniecki écrit, met en scène, joue ses spectacles depuis 2000 et elle anime des ateliers. Elle enracine ses créations dans le terreau des contes traditionnels en cherchant à faire émerger de chaque petite histoire, des échos universels.

Thierry Renard
Après une formation complète en conservatoire et un bref passage dans l’orchestre du Grand-Théâtre de Bordeaux, Thierry Renard développe un langage musical personnel où l’improvisation l’amène à visiter autant l’esprit des musiques classiques et contemporaines occidentales que celui des musiques du monde. Aujourd’hui il participe à des formes pluridisciplinaires pour adultes ou enfants et accompagne les contes, le théâtre, les lectures, la chanson, le clown, la danse ou le jonglage.

Production Face Cachée
Coproductions Centre des Arts du Récit – Scène conventionnée d’intérêt national “Art et création”,
L’éolienne (Marseille), Festival Contes et Rencontres (26)
Soutien Théâtre de L’Astronef (Marseille), Festival de conte de Bourdeaux (38),
Collectif Konsl’Diz (43) et Théâtre de la Parole (Bruxelles).


© Xavier Boymond